Une histoire vraie: Mon pire cauchemar de Paris (3) Le chemin de l'enfer

J'étais vraiment contente d'aller au travail, c'était le chemin où je passais tous les jours pendant presque 3 mois, cependant, je ne savais pas c'était le chemin qui m'aurait mené jusqu'en enfer...

Quand j'étais en train de me préparer pour quitter le showroom, elle m'avait demandé de monter au 1ème étage en disant que sa tante voulait me parler.

C'était le moment où j'avais pris mon portable, je ne savais pas pourquoi mais ma tête m'avait dit d'ouvrir mon enregistreur.

En effet, il y avait une fois qu'elle m'avait demandé d'enregistrer ce que le web designer m'avait dit. (C'était avec lui qu'elle avait engueulé le juillet)

(Elle est compliquée cette femme!

Portant j'avais pas du tout bien réalisé ce fait là!)

Sa tante avait essayé de régler le problème en disant que vous avez eu des soucis!

- Je t'avais dit que je te paieras quand tu auras ton permis de travail! dit-elle;

- Non, c'est pas comme ça! dit-moi;

(Au moment où elle avait parlé, elle avait menti, c'était complètement incroyable pour moi!)

Elle m'avait menacé une fois encore, sinon on va au Prud'hommes?!

Sa tante avait dit no no no!!

(C'était le temps où je ne savais pas encore Prud'hommes ça sert à quoi?)

La mademoiselle avait besoin d'argents pour manger et payer son loyer, dit-sa tante!

(Elle avait vraiment essayé de réclamer quelque chose pour moi.)

- T'as d'argent ! Tu veux encore rester pour bien profiter jusqu'au février!!!

(C'était ce que je lui ai dit 10 mins avant, et elle m'avait critiqué directement en utilisant mes paroles???!!!)

(J'étais complètement choquée...)

- Regarde où tu vis, quelle genre de chambre tu vis!

Les parisiens sont pas d'argent pour louer un studio comme le tien!

- Tu rêves ici!!! dit-elle dédaigneusement.

(Je lui avais montré une fois une photo de ma chambre, c'était justement un partage de ma vie, c'est tout!; mais elle m'avait blâmé directement comme ça...)

(Ça me faisait vraiment mal au cœur, trop trop mal même!)

- Tu me connais pas, tu peux pas me dire comme ça!

(Je me sentais tellement, vachement, terriblement fatiguée de sortir ces mots.)

- Je te connais bien! Pourquoi tu vas pas en Italie pour changer ton passeport!

(Puisque le jeune homme noir est allé en Italie pour changer son passeport, et c'est plus facile de changer le permis de travail pour une entreprise.)

(Mais hors de ça, elle avait raconté absolument n'importe quoi!!!)

(Après j'avais encore oublié ce qu'elle m'avait condamné...même si j'ai enregistrement, j'écoute pas la deuxième fois, c'est vraiment trop pénible pour moi!)

Sa tante m'avait aidé de demander combien ma patronne pouvait me donner;

- Je sais pas du tout, j'ai pas d’espèce, les français sont pas comme les chinois, les chinois sont toujours beaucoup d’espèces! Peut-être 200 euros!

(Elle avait encore l'air extrêmement mordante!)

(Comme je travaillais au noir, elle pouvait pas me payer par chèque.)

(Mais 200 euros de salaire pour 1 mois et demi???!!!)

Après elle avait répondu son appel de téléphone, j'avais pas du tout envie de rester encore là, j'avais dit merci à sa tante et puis j'étais descendue.

Ma patronne était descendue après moi en m’accompagnant jusqu'à la porte, je lui avais dit encore une fois "Merci vraiment de m'avoir offert cette opportunité".

(Je comprends vraiment pas du tout pourquoi j'avais pu sortir ça!!!)

(C'est quoi mon problème!!!Moi!!!)

- Je sais pas quoi dire; dit-elle.

Je réagis toujours très lentement, toujours!

Une sorte de personnalité je pense...

Néanmoins, lorsque j'étais sortie du showroom, j'avais immédiatement réalisé que toute à l'heure je me suis fait insulter par une femme qui parle pas ma langue maternelle!

Qu'est ce qui m'avait arrivé là?

Il est difficile d'oublier et de croire que, comment elle s'était montrée méprisant envers moi, comment elle s'était moquée de moi, malgré le fait que je sois un poisson rouge.

(J'ai des trous de mémoire, grands trous même! J'oublie tout le temps des choses, quand les gens me présentent ses noms, 2 ou 3 secondes après j'en ai déjà oublié, chaque fois, par exemple.)

Je me sentais blesser au plus profond de mon cœur, incroyablement, ce jour-là.

à suivre...

#paris #parislife #dignite